Que faire quand la maladie mentale s’empare d’un proche?
Voir son fils grandir et s’épanouir pour atteindre des études universitaires en ingénierie. Puis, petit à petit, voir que quelque chose cloche. Que son fils entend des voix. Qu’il décode des messages bizarres dans les formules mathématiques présentées par un professeur au tableau. C’est ce à quoi Jean-Pierre Langevin a dû faire face avec son fils
Philippe, aux yeux de son père, était un ado «ben normal». Il le décrit comme curieux et un «tannant sympathique».
Son père raconte également que son garçon savait ce qu’il voulait faire dans la vie : ingénieur. Tout se dessinait bien dans la vie du jeune. Une fierté pour son père policier à la Sûreté du Québec, aujourd’hui retraité.
C’est tranquillement que des symptômes de problèmes de santé mentale sont apparus chez Philippe. À l’âge de 19 ans, le jeune étudiant a commencé à se recroqueviller. Il a commencé à passer de plus en plus de temps dans sa chambre.
Mais ce n’était pas le seul signe que quelque chose ne tournait pas rond
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